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21 décembre 2015

(GAUTIER Guillaume) Le grand débat de l'école au XIXe siècle. Les instituteurs du Second Empire, NICOLAS Gilbert

FICHE DE LECTURE

 

NICOLAS Gilbert, Le grand débat de l'école au XIXe siècle. Les instituteurs du Second Empire, Belin, Saint-Étienne, 2004

Nantes, Bibliothèque Paul Blois, CO 240

 

Présentation de l'auteur

Gilbert Nicolas, né en 1949, est professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Rennes II et membre permanent du Centre de Recherche historique sur les sociétés et cultures de l'Ouest européen. Ses thèmes de recherches portent sur l'histoire de l'enseignement et notamment de l'enseignement primaire au XIXe siècle.

 

Table des matières

 

Introduction

  • L'école primaire à un tournant du Second Empire

  • Une grande enquête sociale du XIXe siècle

  • Les instituteurs et leurs représentations

  • Des sources à la méthode

 

Première partie

Un concours officiel pour « une bonne enquête » ?

 

I – De l'abstraction de l’État à la réalité de l'école

  • 1. Gustave Rouland : Un ministre « réparateur »

  • 2. Le monde peu connu de la haute administration

  • 3. L’État proche : l'inspecteur d'académie et le préfet

  • 4. Des représentants familiers : les inspecteurs primaires

 

II – La mise en œuvre du concours : l'exemple de l'académie de Rennes

  • 1. Au cœur d'un cycle anticlérical

  • 2. L'esprit ambivalent du concours

  • 3. Une incitation ambiguë à la participation

  • 4. La réponse d'une commune sur sept et de deux cantons sur trois

  • 5. Pour une évaluation équitable

  • 6. De la forme au contenu des manuscrits

 

III – Les témoins d'un corps éclaté

  • 1. Trois générations de maîtres

  • 2. De la diversité des formations et des statuts

  • 3. Des écarts de revenus

  • 4. Les instituteurs de l'Empire ou les instituteurs de l'Empereur ?

 

Deuxième partie

De la conscience d'un progrès à l'image Noire du quotidien

 

IV – Entre désillusions et espérance

  • 1. Trois décennies d'efforts inégaux en faveur de l'école primaire

  • 2. La rétractation des réseaux de formation

  • 3. Le développement de la presse professionnelle

 

V – La maison d'école contestée

  • 1. La lente soumission aux normes de l’État

  • 2. Les récriminations relatives aux locaux

  • 3. Les communes laissées à elles-mêmes

 

VI – La difficile scolarisation des campagnes

  • 1. L'obstacle de la distance et l'amputation du temps

  • 2. L'inertie pédagogique

  • 3. De la concurrence aux luttes scolaires

 

VII – Une représentation sociale dévalorisée

  • 1. L'auto-appréciation négative du statut

  • 2. Une sociabilité restreinte

  • 3. La sextuple dépendance

 

Troisième partie

Vers l'école idéale

 

VIII – L'école, sanctuaire de l'enfance

  • 1. Une nouvelle place de l'école sur le territoire communal

  • 2. La spécificité fonctionnelle et esthétique des locaux

  • 3. Le souci de l'hygiène

  • 4. Tables, tableaux noirs, le Christ et l'Empereur

 

IX – Une vocation redéfinie de l'école primaire

  • 1. Les interrogations sur la gratuité et l'obligation

  • 2. Entre la reproduction et l'émancipation

  • 3. De la restructuration du temps à la démarcation culturelle

  • 4. Le rejet ou la tolérance des langues régionales : l'exemple du breton

  • 5. L'humanisation des relations maître-élèves

 

X – Un statut plus avantageux pour une nouvelle image

  • 1. Des fonctions à la profession

  • 2. L'espoir d'une tranche de vie pour la retraite

  • 3. Pour un corps unique et solidaire

  • 4. Vers le soldat noir de l'Instruction publique

 

Conclusion

 

Compte rendu de lecture

 

Introduction

Dans son introduction, l'auteur explique tout d'abord que le 15 décembre 1860 a eu lieu le grand concours ministériel lancé par Gustave Rouland, le ministre de l'Instruction publique et des Cultes, et posant cette question aux instituteurs du second Empire : « Quels sont les besoins de l'instruction primaire dans une commune rurale au triple point de vue de l'école, des élèves et du maîtres ? » Cette consultation auquel de nombreux maître participe, l'auteur évoque 5900 instituteurs sur les 35 à 36 000 recensés, génère une précieuse masse documentaire sur l'école primaire du XIXe siècle qui est donc à l'origine de son livre.

L'auteur montre ensuite l'importance du Second Empire dans l'instruction publique. La première décennie de ce régime, malgré son aspect autoritaire, est importante en matière d'instruction publique avec de nombreuses lois. Il s'intéresse ensuite à l'enquête de 1860 et montre que la France n'est pas le seul pays en Europe à s'intéresser aux questions de l'école à cette période, c'est le cas notamment de l'Angleterre.  Le corps enseignant est lui très divisé géographiquement et socialement, beaucoup de maître exposent dans ses manuscrits leur difficultés mais ils en profitent également pour définir leurs école idéal.

 

Première partie

 

I – De l'abstraction de l’État à la réalité de l'école

 

Gustave Rouland  est nommé par l'Empereur ministre de l'instruction publique et des Cultes en 1856, il se fixe comme but d'améliorer le fonctionnement de l'Université et veut réduire « l'esprit de domination » de l'église catholique. Il lance des enquêtes comme celle de 1860 puis mène une politique de dépense gouvernementale, le budget de l'instruction publique augmente de 39,6% entre 1860 et 1866 (29 millions de francs en 1866). L’État cherche à s'imposer dans l'enseignement avec la nomination, le contrôle et la surveillance des instituteurs.

Entre le ministre et l'instituteur, il existe une « haute administration » que les maîtres ne voient presque jamais. L'inspecteur général de l'instruction primaire est le titre le plus élevé, il apparaît en 1852. L’État a la complète main mise sur ces inspecteurs qui sont le plus souvent des vrais professionnels de l'enseignement primaire et sont considérés comme des guides par les instituteurs par leurs ouvrages. Le recteur préside quand à lui le conseil académique qui décide de ce qui est relatif à l'orientation des cours comme le choix des livres.

L'inspecteur d'académie dépend du recteur, il y en a un pour chaque département de l'académie et est en théorie dépendant du préfet ainsi que du conseil général. Ils vont petit à petit s'affirmer et devenir autonome. La religion est souvent la cause des discordances entre ces deux administrations. Le conseil départementale à la charge l’indemnité des instituteurs, le préfet a lui à partir de 1854 des pouvoirs de plus en plus étendu sur les instituteurs, il les nomme et sont chargé de la discipline au sein du corps. Le préfet a donc un rôle très important dans l'école et sert parfois de médiateur entre les parties opposées des instances départementales.

Il existe également à partir de 1850 les inspecteurs primaires, il y en a en théorie un pour chaque arrondissement. L'auteur s'attarde ensuite à décrire cette profession en fonction du lieu d'exercice de celle-ci et évoque l'aspect médiateur et pédagogue de leurs professions.

 

II – La mise en œuvre du concours : l'exemple de l'académie de Rennes

 

L'auteur évoque la distanciation progressive de l’Église catholique et de l'Empire. En 1860 celle-ci tente d'enflammer les populations contre le pouvoir et certains évêques désertent les conseils académiques. Le clergé se range peu à peu du côté des légitimistes. L'Empire cherche à s'allier les instituteurs pour garder la main mise sur les communes rurales d’où l’enquête de 1860 qui montrent l’intérêt de l'Empire à leurs conditions.

C'est en effet la première fois que les instituteurs répondent eux-mêmes à une question de l’État. Malgré les différentes significations que porte le mot « concours », il est considéré plutôt comme une enquête. On voit bien dans les lettres des instituteurs le caractère exceptionnel que représente pour eux cette enquête.

Le « concours » est facultatif mais les supérieur hiérarchique informent et pressent les instituteurs de répondre. Celui-ci est court, 8 semaines, le ministre pense ainsi écarter les instituteurs les moins capables. Plusieurs instituteurs sont découragés par ce manque de temps et d'autres raisons comme la saison choisit, l'hiver, peu favorable à l'écriture.

Plusieurs tableau statistiques et cartes sont montrés dans cette partie. On apprend que la participation des maîtres au concours est de 17% en moyenne dans l'Ouest, là où l'auteur effectue ses recherches. La grande majorité d'entre eux sont des laïcs normaliens ou non, il y a peu de congréganistes.

Ces mémoires sont ensuite redistribués dans des arrondissements différents afin d'être évalués équitablement par les inspecteurs. Il en ressort que ces écrits sont critique sur le clergé, l'état des locaux d'autres sont jugés trop médiocre. 14,4% des mémoires de l'académie de Rennes seront envoyé à Paris mais aucun n'obtiendra l'un des deux prix nationaux.

Il y a beaucoup de différence dans la forme selon les manuscrits, notamment en ce qui concerne la méthode, le nombre de page. Certains, sur le fond, sont mesuré ils sont pour la plupart authentiques et honnêtes.

 

III – Les témoins d'un corps éclaté

 

Par leurs écrits, Nicolas distingue trois générations de maître différentes, celle de la Restauration, celle de la monarchie de Juillet et celle de l'après 1850. Les maîtres les plus âgés sont les plus engagé dans le concours contrairement au plus jeunes qui mesurent leurs faiblesses et se sentent inférieur à leurs collègues plus expérimenté.

L'auteur évoque les congréganistes et leur participation aux concours puis montrent les différences de passés scolaire et professionnels ainsi que les écarts  de formations des instituteurs du Second Empire, les normaliens et les congréganistes sont mieux préparer à faire face à une classe et son meilleur pédagogue que les autres instituteurs et jouissent d'une meilleur réputation. Leurs compétences varient également selon le diplôme obtenu, les instituteurs sont donc également très différent dans leur qualification.

La condition financière des instituteurs est diverse et aléatoire, certains gagne 5 fois plus que leur collègue alors qu'il n'enseigne qu'à une quarantaine de kilomètre l'un de l'autre (3000 francs contre 600). Leur situation économique varie beaucoup d'une commune à l'autre, le lieu est le critère le plus important bien plus que la formation ou le statut du maître.

35% des instituteurs montrent dans leurs écrits leur attachement à l'Empereur et ou à sa politique, ce sont pour la plupart des normaliens, les légitimistes représentent environ 10% des instituteurs enregistrés de Loire-Inférieur selon le préfet de l'époque, les autres sont jugés comme indifférent ou politiquement inclassable.

 

Deuxième partie

 

IV – Entre désillusions et espérance

 

Le concours demande aux instituteurs de se pencher sur le rôle de l’état dans l'évolution de l'école primaire. L'auteur montre que les écrits des maîtres louent surtout la monarchie de juillet et ses nombreuses lois en faveur des instituteurs et de l'instruction primaire, comme la loi Guizot de 1833. Sous le Second Empire ils ressentent de plus en plus l'action de l'administration que le régime a étoffée.

La loi Falloux de 1850 est perçut très négativement chez les instituteurs à cause de la fermeture d'établissement de formation de maître qui en résulte. À partir de 1850, les relations entre le maître et le pouvoir en place se tendent. Le niveau de formation des maîtres est abaissé dans les écoles normales.

L'auteur évoque ensuite le « journal des instituteurs » créé en 1858 et rédigé par des inspecteurs, des médecins et des enseignants qui permet à ces maîtres moins bien préparé que les générations précédente de recevoir de précieux conseil. Il est utilisé comme un véritable manuel de la profession par certains instituteurs. 

 

V – La maison d'école contestée

L'auteur nous montre ici que la législation à partir de la loi Guizot en 1933 va imposer aux communes de plus en plus de normes à respecter dans le domaine de l'école, notamment en 1858 (lieux, locaux, isolement)

Dans l'enquête de 1860, 64% des auteurs se plaignent des maisons d'école, ils évoquent des écoles trop anciennes, trop petites, l'absence de cour de récréation ou encore le bruit du monde rural et l’absence de « lieu d'aisance ».

L'endettement des communes est souvent considérable, le maître témoigne des réticences des autorités locales à dépenser alors qu'elles fournissent en moyenne 73% du financement pour la construction d'école. Celles-ci sont donc laissées à elles-mêmes.

 

VI – La difficile scolarisation des campagnes

Dans le monde rural, la fréquentation de l'école est tardive et irrégulière en raison du travail des enfants et de l'indifférence des parents. D'autre raisons justifies cet absentéisme scolaire comme la distance. En effet, l'école est souvent éloigné de plusieurs kilomètres de certains lieu d'habitation ce qui retarde l'âge de la scolarité qui commence généralement vers 8-9 ans. Le temps scolaire des élèves diverge également et est souvent restreint. Certains ne sont présent que 4 à 5 mois par an et ne restent pas jusqu'à la fin de la journée de cours.

La pédagogie est également une question difficile pour les maîtres qui ont une préparation insuffisante aux différentes méthodes d'enseignement. De plus ils doivent faire avec les différentes langues régionales et toutes les difficultés relatives à l'école de l'époque. Celle-ci ne parvient pas à remplir dans plusieurs cas sa double mission d'instruction et d'éducation.

L'auteur aborde ensuite les rivalités existent entre les congréganistes et les laïcs pour la conquête de l'école publique entre les années 1830 et 1860 ainsi que l'existence d'école clandestine. Cette concurrence est problématique pour les instituteurs laïcs et est sujet à polémique. Certains instituteurs profitent donc de l'enquête de 1860 et de la nouvelle politique impériale pour attaquer les congrégations.

 

VII – Une représentation sociale dévalorisée

 

Dans leurs définitions de la fonction d'instituteur-fonctionnaire, la plupart des fonctionnaires se dévalue dans cette enquête ce qui montre qu'ils jugent leur statut social peu élevé. En effet le maître est resté à l'écart de l'enrichissement de certaines catégories sociales, la plupart reste très modeste et se considère comme tel. Leur condition de vie et leur revenu ne diffère pas, pour la plupart, des ouvriers ruraux de l'époque.

De plus leur sociabilité est restreinte, certains reste célibataire (30% d'instituteurs laïc célibataire dans le Finistère) et leur faible revenue scolaire ne leur permet pas de se marier avec une femme de haut niveau social, de disposer d'une maison décente pour accueillir ou de bien s'habiller. L'auteur évoque solitude de ces maître condamné à voir toujours les mêmes personnes car ils n'ont pas les moyens d'avoir une vie sociale aisée malgré leur niveau culturelle plus élevé que la moyenne de la population et comparable aux notables.

Certains instituteurs se perçoivent comme le « valet du maire » du fait des fonctions annexes qu'ils exercent pour mieux vivre comme le secrétariat de mairie. L'auteur évoque également l'anticléricalisme chez les maîtres notamment chez les normaliens. Ils arrivent aussi que les percepteurs retardent le paiement des instituteurs ce qui montre leur dépendance. Enfin les instituteurs sont également dépendant des parents pour le paiement de la rétribution.

 

Troisième partie

 

VIII – L'école, sanctuaire de l'enfance

 

Les maîtres grâce à cette enquête vont pouvoir décrire leur école idéal, ils veulent en faire un « sanctuaire »  qui soit clos et résolve les problèmes évoqué précédemment.

Les instituteurs souhaitent une démarcation de chaque fonction de la maison d'école par des corps de bâtiments distincts. Ils  proposent donc au sein de leur « mémoire » des plans expliquant leur vision de cette école du futur.

Les instituteurs sont également très préoccupé par l'hygiène des bâtiments scolaire, pour eux leurs classe doit rester propre et répondre à des normes d'hygiène qui n'existe pas à l'époque. Se chauffer, s'éclairer ainsi que la nature du sol posent également problème pour certaines écoles.

Le mobilier de la salle de classe est également présent dans les écrits des instituteurs, les tables et les bancs sont mentionnés comme le premier mobilier à acquérir pour des écoles qui n'en disposent pas suffisamment à l'époque ainsi que le tableau noir qui n'est généralement pas assez large. D'autres éléments comme l'estrade ou la bibliothèque armoire sont cité.

 

IX – Une vocation redéfinie de l'école primaire

 

L'obligation et la gratuité est demandé dans certains mémoires d’instituteurs devant l’absentéisme des élèves, elle réduirait sa dépendance aux parents et enfant et permettrait de renforcer la position de l'école et donc de l’État.

Les instituteurs sont partagés sur la question du rôle social de l'école primaire. Une parties des maître ruraux pense qu'elle doit s'inscrire dans un processus de reproduction sociale et ne doivent donc communiquer que les connaissances de base (ils sont peu nombreux toutefois), d'autres demandent au contraire que l'enseignement dispensé soit étoffé et modernisé.

Les langues régionales sont également au cœur de cette enquête, 59,7% des écoles primaires du Morbihan n'utilisent que le français, plusieurs écoles de Bretagne utilisent à la fois le Français et le Breton. Les maître parte donc du Breton pour leur apprendre le français et rares sont les instituteurs qui affichent du mépris pour les langues régionales, ils souhaitent cependant avancé vers l'uniformisation de la langue nationale.

Les relations maître-élèves sont aussi exposé dans les écrits, l'auteur nous apprend que les instituteurs rejettent la soumission et les coups pour enseigner la discipline malgré les clichés, il montre au contraire leur occupation au bien être de l'enfant.

 

Conclusion

L'auteur insiste en conclusion sur le fait que l'enquête ne soit pas si représentative de la vie des instituteurs car elle n'en concerne qu'un seul sur six en moyenne. Les écrits de ces instituteurs sont inégaux dans leur qualité mais sont libre de propos et permettent de mieux cerner plusieurs points de l'école primaire au XIXe siècle. Ce concours en génère d'autres après lui et découle sur de nombreuses lois en faveur des instituteurs et montre que le Second Empire a apporté sa « pierre à l'édifice » à l'enseignement primaire.

 

Critique

J'ai trouvé cette ouvrage très intéressant de par sa richesse et le thème abordé. Il est plutôt facile à lire mais contient quelquefois trop de statistiques qui, je trouve, peuvent nuire à sa lecture et qui la rende à certains passage désintéressant pour le lecteur qui ne souhaite pas approfondir d'avantages le sujet. Le livre est long (336 pages) mais la police d'écriture utilisé n'est pas trop petites.

Je ne conseille pas ce livre pour la révisions des partiels étant donné le sujet très précis de l'ouvrage mais celui-ci peut être très utile pour des recherches en rapport avec l'école sous le Second Empire.

 

Bibliographie

 

  • ALBERTINI Pierre, L'école en France XIXe-XXe siècle, Hachette, Paris, 1992

  • DELSAUT Yvette, La place du maître. Une chronique des écoles normales d'instituteurs, L'Harmattan, Paris, 1992

  • FERRIER Jean, les inspecteurs des écoles primaires, 1835-1995, L'Harmattan, Paris, 1997

 

GAUTIER Guillaume

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