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1 février 2016

Sarah CLOUET - La Seconde République -

Fiche de lecture :

 

 

Titre de l’ouvrage : La Seconde République

 

Type d’ouvrage : petite encyclopédie

 

Nombre de pages : 127

 

Auteur : Philippe Vigier

 

Thème général : L’histoire du peuple français sous la IIe République

 

Sous-thèmes : La question économique de la France, la politique avec la présentation des partis et de ses personnages principaux, les prémices de la dictature et du Second Empire de Louis-Napoléon Bonaparte.

 

Autres ouvrages sur ce thème :

Henri Guillemin, La Première résurrection de la République, Gallimard, 1967.

Louis Girard, Naissance et mort : La IIe République, Calmann-Lévy, 1981.

Maurice Agulhon, 1848 ou l'apprentissage de la République. 1848-1852, Paris, Seuil, 1973 (réédité en 2002)

 

Autres historiens ayant travaillé sur ce thème : Théodore Cesar Muret, Francis Choisel (chercheur CNRS), Inès Murat.

 

Biographie de l’auteur :

Philippe Vigier a consacré la majeure partie de sa vie d'historien à la Seconde République, dont il demeure incontestablement l'un des meilleurs spécialistes.
Agrégé d’histoire à vingt-deux ans, il s'est d'abord intéressé à la région alpine, point de départ de multiples publications sur l’histoire de la province et sur le monde rural. Sa grande thèse sur la Seconde République dans la région alpine en témoigne. Par la suite, ouvrages, essais, articles, rapports présentés à des colloques se sont régulièrement succédé. Parmi ceux qui se sont adressés à un vaste lectorat on peut noter La Vie quotidienne en province et à Paris pendant les journées de 1848 et ses deux « Que sais-je », l’un consacré à la Monarchie de Juillet, l’autre à La Seconde République. Mais Philippe Vigier fut aussi administrateur et pédagogue. Après sa nomination à l’Université de Tours, puis d’Orléans, il se fixe à Nanterre, dont il sera le vice-président de 1971 à 1976, aux côtés de René Rémond. Il fut secrétaire de la Revue Historique, président de la prestigieuse Société d’Histoire de la Révolution de 1848, membre de la section permanente du Conseil national de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Il fut enfin membre dès sa création, en juillet 1987, de l’Association française pour l’histoire de la justice, et fut ainsi à l’origine du Guide des archives judiciaires et pénitentiaires.

 

Table des matières :

Introduction

Chapitre I – L’illusion lyrique et l’ « ère des bons sentiments »  (24 février - fin mars 1848) 1. L’établissement du Nouveau Régime et le ralliement général ; 2. L’illusion lyrique et ses limites : une révolution sociale ; 3. L’œuvre du gouvernement provisoire.

Chapitre II – La défaite des ouvriers et des socialistes parisiens (début avril - fin juin 1848) 1. La défaite par le bulletin de vote (avril 1848) ; 2. La défaite par les armes (mai - juin 1848)

Chapitre III – L’échec de la République bourgeoise et modérée (juillet 1848 – mais 1849) 1. Les difficultés de la République Cavaignac (juillet – octobre 1848) ; 2. Le vote de la Constitution et les élections présidentielles du 10 décembre ; 3. L’agonie de l’Assemblée constituante et les élections législatives (janvier – mai 1849)

Chapitre IV – L’Assemblée législative : une crise politique continue (juin 1849 – novembre 1851) 1. La lutte antirépublicaine et le développement de l’entreprise bonapartiste (juin 1849 – juin 1950) ; 2. L’essor du bonapartisme et la lutte contre le président de l’assemblée (été 1850 – novembre 1851)

Chapitre V – La France ce 1849 à 1851 : un malaise généralisé 1. La conjoncture économique et ses conséquences sociales ; 2. Le désarroi des esprits, et les essais faits pour le surmonter

Chapitre VI – L’établissement de la dictature bonapartiste (automne 1851 – printemps 1852) 1. Le coup d’Etat ; 2. La mise en place de la dictature bonapartiste

 

Bibliographie de l’auteur :

GIRARD Louis, La IIè République, Paris, Calman-Lévy, 1968

DAUTRY Jean, 1848 et la Seconde République, Paris, Editions Sociales, rééd. 1957

SANS Georges, Correspondance, t. VIII, IX et X (1847-1852), ed. G.Lubin, chez Garnier, 1971 à 1974

DE TOCQUEVILLE Alexis, Souvenirs et Correspondances avec G.Baumont, Œuvres complètes publiées chez Gallimard, 1964 et 1967

 

Deux citations à retenir :

« Et voici la Révolution Française qui recommence, car c’est toujours la même », Alexis de Tocqueville à propos de la Révolution de 1848. Il évoque notamment ici la révolution de 1830 avec le « toujours la même ».

« L’amour est plus fort que la haine », Pierre Dupont. Il parle ici de la révolution de 1848 fondée sur des principes démocratiques, de liberté et de fraternité.

 

Résumé général de l’ouvrage :

Cet ouvrage dresse une description des faits et événements qui ont construit la Deuxième République. En effet l’auteur y parle de ses origines et de sa construction puis de son déroulement sur trois années jusqu’à sa destruction. Le lecteur a plusieurs point se vues : économique, social, politique, religieux et culturel. Toutes les informations sont agrémentés de chiffres statistiques (sur les suffrages exprimés et la démographie notamment), mais aussi de carte  (chapitre 3), ou encore de nombreuses citations d’auteurs de l’époque). La seconde République commence de manière un peu brutale puisque c’est une révolution qui la mettra au monde. Le peuple français de l’époque souhaite de nouvelles avancées sociales et politiques puisque il renie la monarchie. Dans un contexte de crise  économique, de l’instabilité ministérielle et de profondes divisions dans le monde politique, le peuple français décide d’élire un certain Louis-Napoléon Bonaparte. Sur un panorama de deux ans et demi environ, Louis-Napoléon va peu à peu installer son propre régime de manière subtile pour laisser place à l’empire.

 

 

Résumé par chapitres :

 

Chapitre 1 :

Tout d’abord, il faut retenir que la république est le fait premier du peuple Parisien. Nous sommes dans un contexte où la France doit faire face à des difficultés économiques. Une révolution sociale se prépare.

Le 24 février 1848 Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils. On crée alors un gouvernement provisoire.

Chez les politiques, certains souhaitent une révolution d’ordre social. On demande plus de droits dans le milieu du travail, on demande également de meilleures conditions de travail, de meilleurs salaires. De ce côté, on peut retenir plusieurs noms, comme Louis Blanc (qui est un historien), Flocon, Ledru-Rollin, Lamartine. Tandis ce que d’autres souhaitent véritablement une révolution politique, c’est-à-dire un changement de régime, un nouveau gouvernement et fonctionnement politique.

Lamartine devant l’assemblée, soulignera l’importance de consulter le peuple en matière de changement et de propositions politiques et sociales, lorsqu’on veut construire une République (car c’est lui qui en est le principal acteur). Le peuple acceptera une République sans terreur, fraternelle et pacifique, sans véritables classe.

 

La Révolution de 1848 a d’abord commencé à Paris comme en 1830. Dans cette partie l’auteur fera beaucoup de parallèles avec les événements de 1830. La révolution de 1848 peut être résumée de manière schématique : révolution politique -> spirituelle -> morale -> sociale -> création d’un nouveau monde.

C’est le peuple parisien qui débute le mouvement :

-il est soudé et on observe une carence de haine entre les protagonistes

-c’est une revanche sur la révolution de 1830 qui n’a pu aboutir véritablement

-Tocqueville décrira une absence de soldats, gendarmes, police et garde-civils dans Paris

-c’est le peuple portait les armes pour défendre les causes sociales

-on voit apparaître des clubs et de nombreux journaux (par exemple : le club de Blanqui « La société républicaine centrale »)

-s’émanciperont aussi durant ces événements, les femmes, elles créent elles aussi des clubs. On retiendra des noms comme Georges Sand, Eugénie Niboyet, Jeanne Deroin.

-on respecte également la liberté de religion comparé à 1830

Cependant, cette représentation n’est pas l’idéal non plus. Cette révolution est la cause d’un appauvrissement qui déclenchera pillages et violences entre bourgeois et classes populaires.

En ce qui concerne la province, la révolution est plutôt une affaire d’avocats, de médecins et de négociants. Les paysans et ouvriers quant à eux, ne voient pas autant l’aspect utopique qu’il y avait à Paris.

Ces événements seront les débuts de la remise en cause du capitalisme, notamment par les ouvriers de Lyon, Reims, Rouen et Lilles. On se révolte contre les patrons pour obtenir des augmentations de salaires mais aussi contre le monde ecclésiastique.

La révolte sera également de nature agricole puisque les petits paysans vont se soulever contre les plus grands exploitants et les bourgeois.

Tout cela aura des conséquences économiques puisque cela va engendrer une crise dans un premier temps monétaire et bancaire puis dans un second temps industrielle et commerciale.

Un gouvernement provisoire sera formé :

Lamartine : affaires étrangères

Ledru-Rollin : intérieur

Crémieux : justice

Goudchaux : finances

Carnot : instruction publique

 

Le 25 février création de la garde nationale mobile. Ce jour marquera le début de la révolution des 6 jours. Cela commence dans le domaine du bâtiment et des arts.

Le lendemain on crée les ateliers nationaux qui s’engagent à offrir du travail à ceux qui n’en avaient pas (avec comme directeur Emile Thomas).

Le gouvernement est libéral et démocrate. Des valeurs telles que la liberté de la presse, de conscience et de réunion sont à la disposition de tous. On retrouve l’égalité politique (suffrage universel) et civique. Les colonies s’émancipent et le 23 avril l’esclavage est aboli par Victor Shoelcher.

Pour terminer on éloigne tous ceux qui ont été corrompu sous Louis-Philippe.

 

Chapitre 2 :

Le 17 mars a lieu une grande manifestation ouvrière, et cette fois-ci désormais Ledru-Rollin, ministre de l’intérieur ne soutient plus les manifestants.

La France est victime d’une crise économique et financière. On crée donc pour y remédier l’impôt des 40 centimes de Garnier-Pagès.

Le 23 avril doivent avoir lieu des élections (les premières au suffrage universel en France). Est élu président de l’assemblée constituante le socialiste chrétien Buchez. Lamartine quant à lui est élu dans 10 départements. Ces résultats contentent la classe bourgeoise souhaitée par la majorité du gouvernement provisoire.

Alors qu’une masse d’ouvriers parisiens pénètrent dans les locaux de l’assemblée le 15 mai, Huber décide de dissoudre l’assemblée. On procède alors aux arrestations d’Huber, Blanqui et Barbès.

La révolte se poursuivra contre les ateliers nationaux où l’on observe peu d’évolution depuis leur création. Il y a à l’époque 115 000 ouvriers qui sont censés en bénéficier. Mais les révoltes semblent inévitables. Elles sont lourdes de conséquences : 1000 morts et 25 000 arrêtés (11 000 déportés).

 

Chapitre 3 :

La république bourgeoise ne parviendra pas à s’installer

Cavaignac président du conseil des ministres le 28 juin 1848

Cela constituera un régime parlementaire que Cavaignac dirigera jusqu’au 20 décembre.

L’assemblée a ce moment est composé essentiellement de républicains, Cavaignac ne parvient pas à s’allier avec les royalistes qui ne peuvent le tolérer. Sa personnalité ne continuera as d’être approuvée lorsqu’il réglementera les libertés de la presse et de réunion.

De leur côté les reformes économiques et sociales continueront de déplaire (en effet la journée de travail est limitée a 12h au lieu de 10h)

L’opposition au gouvernement Cavaignac ne cesse de grandir pendant les mois de septembre et octobre 1848, en effet il doit faire face à des difficultés économiques et sociales.  Les secteurs du textile, de la banque de la métallurgie et du bâtiment ont du mal à redémarrer. La politique extérieure de Cavaignac semble également critiquée. Elle est dirigée par Bastide qui ne réussi pas à gérer les tensions extérieure (Pologne / Autriche)

Le 17 sept ont lieu des élections partielles ou un certain Louis-napoléon Bonaparte remporte 5 départements.

Le 10 décembre les Français votent pour une nouvelle constitution (libérale et démocratique) et pour les élections présidentielles. Louis-Napoléon obtiendra 74.2% des suffrages exprimés, Cavaignac 19% et Ledru-Rollin 5%.

Entre janvier et mai 1849, Louis-Napoléon et le ministère Odilon Barrot procède a une lutte antirépublicaine. Le 20 décembre Cavaignac démissionne et Louis-Napoléon prête serment de fidélité a la constitution. Les ministres et le président se trouvent dans la nécessité d’affaiblir le parti républicain à l’assemblée comme dans le pays. Milieu décembre le ministre de l’intérieur Léon Faucher fait disparaitre tous signes républicains (bonnet rouge, arbre de la liberté…)

Avec les élections du 10 décembre sur 6 760 000 votants, les républicains n’obtiennent que 800 000 voies.

 

Chapitre 4 :

La crise politique continue. La République mise en place effraie car elle promet un empire que tout le monde redoute.

Va alors se développer une entreprise bonapartiste. Le 11 juin 1849, alors que le gouvernement attaque de nouveau les républicains romains, Ledru-Rollin interpelle l’assemblée et souligne une violation de la constitution qui rappelle que la France doit respecter les nationalités étrangères. Les journaux démocratiques, le 13 juin au matin s’en prennent donc au gouvernement de Louis-Napoléon. Cela déclenchera d’importantes émeutes que Ledru-Rollin n’avaient pas envisagées aussi violentes (bilan 230 morts et blessés). On retiendra comme villes principales actrices du mouvement Grenoble, Toulouse, Perpignan, Valence… Tout cela sera une excuse pour le gouvernement de restreindre les libertés. De ce fait, la lutte antirépublicaine va de nouveau s’accentuer (on restreint le nombre d’électeurs du suffrage universel). Mais les Républicains refusent toute forme de soumission et décident de résister.

Par ailleurs, Louis-Napoléon présente ses idées ambitieuses d’une politique de « conquête » de l’Europe. Il fonde également sa puissance sur les divisions des deux partis qui lui font concurrence.

 

Chapitre 5 :

Le peuple français, après des mois de tension et de violences qui ont eu pour conséquences une crise politique, économique, sociale et psychologique, n’a pas eu les bonnes réponses à ce qu’il attendait du nouveau gouvernement.

Une dépression économique aura lieu jusqu’à la fin de l’année 1851. Cela peut s’expliquer par un caractère contrasté de l’activité économique. Cependant certains secteurs réussiront à se relever (la grande foire de Beaucaire a toujours lieu par exemple). Les ports maritimes parviendront à reprendre leur activité. Le domaine qui réussira le moins à transpercer les difficultés demeurera l’agriculture qui ne cerne pas le renouveau (spéculation insuffisante, les prix baissent énormément et les récoltes rapportent peu, la modernisation des techniques de récolte et d’élevage n’a pas encore percé). Les conséquences qui s’en suivent sont donc sociales puisque les grands propriétaires sont obligés, à cause de leur appauvrissement de revendre leurs propriétés à de prix plus faibles qu’ils ne l’avaient acheté, ceux-ci jugent le gouvernement responsable. Mais les petits et moyens propriétaires qui avaient accumulé des dettes durant la Monarchie de Juillet, sont eux aussi victimes de cette crise. Cette situation sera en revanche niée par les partisans du prince-président qui souligneront les mesures prises en faveur des ruraux.

Démographiquement la France vit une période de stagnation voire même de recul puisque l’accroissement n’est que de 2.2% tandis que dans les années de 1841 à 1846 le taux était de 6.8%. Ces chiffres sont dus à la baisse de la natalité et surtout la hausse de la mortalité puisque la population doit faire face à une épidémie de choléra en 1849.

En matière de littérature, nous retiendront des noms comme Victor Hugo, Théophile Gautier, Gustave Flaubert avec le début de la rédaction de Madame Bovary. Karl Marx quant à lui reste encore peu connu en France.

Pour l’Eglise catholique et le monde moderne, les espoirs de réconciliation sont presque devenus impossibles. A cette époque la Franc-maçonnerie connaîtra un succès. *

 

Chapitre 6 :

Dans ce chapitre commence la mise en place de la dictature bonapartiste d’où découlera la période du second empire. Progressivement, Louis-Napoléon Bonaparte parviendra à faire de la république un empire. Il va supprimer de manière habile l’assemblée et renforcer toutes les institutions de sécurité intérieure (conserver le ministère de la guerre et la préfecture de police). Le coup d’état prend peu à peu forme. Dans la nuit de 1er au 2 décembre, le prince aura eu le temps de préparer le peuple français à un choix entre lui et l’assemblée (des personnes comme Thiers, Changarnier ou Lamoricière ont été arrêtés pendant la nuit) pour qu’il puisse rédiger une nouvelle constitution, l’assemblée ayant été dissoute un jour auparavant. Dès le lendemain, des barricades sont édifiées dans Paris, 20 000 hommes sont déployés. La province, quant à elle ne réagit pas immédiatement, mais répondra un peu plus tard à l’appel lancé des insurgés depuis Paris.

Pour faire accepter ce coup d’état, Louis-Napoléon utilise la propagande, et affirme avoir sauvé la société contre les révolutionnaires qui comptaient prendre le pouvoir en 1852.

Dès le lendemain du coup d’état une hausse des prix se fait ressentir, ce qui formera un argument de poids pour les électeurs du prince. Beaucoup de notables se laisseront convaincre de la compétence et des avantages du nouveau pouvoir (on exclu de ces notables Rémusat, Tocqueville ou encore Périer). Le 21 et 22 décembre, 7 145 000 français approuvent le maintien de l’autorité de Louis-Napoléon et lui délèguent les pouvoirs nécessaires pour établir une nouvelle constitution.

S’en suivra alors la persévérance de la lutte républicaine de la part du gouvernement qui décide de jeter en prison tout opposant républicain. Ceux-ci seront ensuite envoyés en Guyane ou en Algérie car Louis-Napoléon souhaite s’en débarrasser.

Désormais Louis-Napoléon peut construire sa politique sans opposants. Il affirme que pour que le peuple soit heureux, il faut que le pouvoir soit fort, et pour que le pouvoir soit fort, il faut qu’il ait la confiance du peuple. Le 14 janvier est donc promulguée la nouvelle constitution. Le président possède le pouvoir législatif mais aussi l’exécutif (comparé à la constitution de 1848). La république comprenait un président qui devient finalement empereur. Louis-Napoléon ne veut pas négliger l’aspect social et préfère rester éloigné des notables. Ce pouvoir réussi à être accepté puisque la situation économique retrouve son équilibre, la confiance s’installe.

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  • Ce blog a pour objectif de partager les fiches de lecture réalisées par les étudiants de Licence 1 d'histoire et de géographie de l'Université de Nantes. Ces fiches portent sur l'histoire de la France au XIXeme siècle. Bonnes révisions!
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